Quand la surveillance remplace l’intervention en itinérance
Lettre ouverte collective, appuyée par plusieurs regroupements d’organismes communautaires, dont le RAFSSS…
Le Collectif régional de lutte à l’itinérance en Outaouais (CRIO), la Table des organismes montréalais de lutte contre le VIH/sida (TOMS) et le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) dénoncent, dans une lettre ouverte soutenue par un total de onze regroupements régionaux, la dérive vécue à Montréal et Gatineau: remplacer l’intervention par la surveillance en itinérance.
« Malgré la pénurie de personnel dans plusieurs secteurs publics, jamais il ne serait toléré de remplacer des éducatrices, des enseignantes ou des infirmières par du personnel de sécurité. Pourquoi en est-il ainsi pour l’intervention psychosociale, qui représente, elle aussi, une profession à part entière? »
Pour lire le texte au complet: Lettre ouverte parue dans le journal Le Droit, le 15 juin 2021
Pour voir l’ensemble des illustrations créées par Maudite Sorcière, rendez-vous à la page Facebook du RAPSIM.